Anne-Sophie, peux-tu nous présenter ton activité ?
Je suis dans ce que l’on appelle le marketing relationnel, c’est-à-dire la constitution de réseaux. A la fois des réseaux de clients, puisque je vends des produits cosmétiques specialisés dans l’anti-âge , « l’anti-vieillissement » et des réseaux de distributeurs qui ont envie de faire la même chose que moi.
Je vais donc recruter, former, accompagner et créer une équipe de personnes qui travaillent chacun pour eux-mêmes mais dans un esprit d’équipe.
Ma mère fait ce métier depuis quelques années et je suivais son parcours de loin. J’ai pu essayer les produits, voir comment fonctionnait l’entreprise. Je l’ai même accompagnée à des séminaires pour me faire une idée mais aussi parce qu’au début j’étais un peu septique. On entend un peu tout et n’importe quoi et je pensais que ca se résumait à faire quelques réunions « tupperware » et à vendre quelques produits. Je me suis rendu compte de toute l’envergure qu’il y a derrière. J’ai donc décidé de me lancer dans l’aventure.
Nu Skin une entreprise américaine qui existe depuis trente ans et qui a réussi à cibler dans le génome humain, les gênes responsable du vieillissement. C’est-à-dire tout ce qui va être à la fois fatigue et dégradation de la santé mais aussi l’aspect plus esthétique donc les rides, et le relâchement de la peau. Ils arrivent à rééquilibrer l’expression de ses gênes et à faire en sorte que les gens vieillissent en se sentant mieux dans leur corps et dans leur peau.
J’ai fait un DUT technique de commercialisation, puis une école de commerce, sans vraiment savoir ce que j’allais faire, je voulais me laisser un maximum de voix ouvertes pour avoir le temps d’affiner mon projet professionnel.
Après un passage à Londres, j’ai commencé à travailler à Paris pour une entreprise de conseil en marque employeur. Je m’occupais du marketing BtoB donc des relations presses, de la communication et de l’évènementiel. J’ai beaucoup aimé et j’y suis restée trois ans.
J’ai, ensuite, ressenti le besoin de sortir de ma zone de confort, de ma routine et de travailler pour moi.
C’est une activité que l’on peut faire à petite échelle, c’est-à-dire, juste vendre quelques produits et se faire un peu d’argent ou à plus grande échelle, c’est-à-dire vraiment monter une équipe et un réseau de distributeurs. C’est la deuxième option qui m’intéresse. Sur le long terme, je vois ça comme créer une vraie équipe et à ce moment là, mon métier sera plus de l’accompagnement d’équipe que de la prospection et de la vente de produits.
Comment as-tu découvert CASACO ?
J'ai découvert CASACO grâce à deux porteurs de projet membres de la tribu. Je les ai rencontré à une réunion de chômeur-entrepreneur « Chomunity ». Ils m’ont ensuite invité à une session de travail chez CASACO puisque cela fait partie intégrante de son projet, j’ai tout de suite aimé le lieu.
Peux-tu nous décrire CASACO en 3 mots ?
Agréable – Conviviale – Stimulant
As-tu une petite anecdote CASACO ?
La prise de parole. Aurélien, le co-fondateur de CASACO, nous invite à partager nos idées devant les autres pour inciter au partage, c’est vraiment l’esprit CASACO : mettre en commun ses idées, s’exprimer.
C’est très représentatif parce que j’attendais un cadre, je voulais aller travailler, sortir de chez moi, voir des gens, discuter et faire des rencontres professionnelles ou même personnelles.